Samorost 3

A PROPOS
samorost3 Editeur : Amanita Design
Développeur : Jakub Dvorský
Sortie : 2016
Genre : Aventure, point & click
Nombre de joueur : 1
DISPONIBLE SUR : PC – MAC
CLASSIFICATION
NC – Recommandé à partir de 9 par La Revue des Livres pour Enfants de la BNF
CONTENU DU JEU
difficulté :
temp1
  • Prise en main intuitive
  • Peu de lecture
  • Niveau de difficulté moyen
Durée moyenne d’une partie :
time1

5 à 15 minutes

Langue :
fr

Français

Fonctions liées à internet :

  • connexion internet permanente requise : NON
VIDÉO
AVIS
Nicolas PERISSE – Jeuxvideothèque :

Samorost 3 était attendu depuis 10 ans. Son premier épisode datant de 2003, il s’agissait d’un travail de fin d’étude entrepris par Jakub Dvorský. Par la suite, ce dernier a fondé Amanita Design et n’a cessé de nous émerveiller avec ses créations. Samorost 2 en 2005, et surtout Machinarium en 2009 et Botanicula en 2012, autant de titres qui ont fait la renommée du studio auprès des joueurs mais aussi des bibliothécaires.

Samorost 3 reste dans la lignée des 2 précédents opus avec un environnement visuel extrêmement détaillé et fourni. Le jeu donne une fois encore l’impression d’évoluer dans une photographie, davantage marqué par l’utilisation de la focale que par l’utilisation de vraies photos comme on avait pu le voir avant. L’environnement sonore n’est pas en reste et les partitions de Tomáš (Floex) Dvořák accompagnent agréablement l’aventure.

Côté histoire, on suit toujours les aventures d’un petit lutin (le petit chaperon blanc ?) qui décide de se lancer dans la quête de son livre de chevet. Il doit tout d’abord construire une fusée qui lui permettra de progresser petit à petit de planète en météore jusqu’à devoir affronter le terrible dragon mécanique. Les énigmes sont assez simples à comprendre et à résoudre tout en laissant une forte part à l’imagination.

Au final, que l’on soit spectateur ou joueur, on ne s’ennuie pas une seule seconde et on trouve même le jeu presque trop court une fois fini. Toutefois, il servira parfaitement de nombreuses heures du contes numériques.

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