Après avoir retrouvé Hans Voralberg, Kate Walker a décidé de l’accompagner dans la poursuite de sa quête : partir à la recherche de l’île légendaire de Syberia, une contrée lointaine et verdoyante au coeur des terres enneigées, et où résident les derniers mammouths. Mais le chemin est encore long et semé d’embûches…
A PROPOS
Editeur : Microïds Développeur : Microïds Concepteur : Benoît Sokal Sortie : 2004 Genre : Aventure, Point & Clic Nombre de joueur : 1
DISPONIBLE SUR :
PC – PS2 – PS3 – Xbox – Xbox 360 – DS – PC – MAC – Android – iOS
CLASSIFICATION PEGI
CLASSIFICATION MOBILE
App Store (iTunes) :
12+
Amazon :
TOUT AGE
CONTENU DU JEU
difficulté :
Apprentissage de commandes recommandée.
Un niveau de lecture moyen est requis
Niveau de difficulté moyen
Durée moyenne d’une partie :
Plus de 30 minutes
Langue :
Français
Fonctions liées à internet :
connexion internet permanente requise : NON
VIDÉO
AVIS
Nicolas Perisse – Jeuxvidéothèque :
Suite directe du précédent opus (souvent réunis dans une même édition d’ailleurs), nous retrouvons Kate Walker qui a fait son choix : celui de suivre Hans Voralberg à la recherche de Syberia. La jeune héroïne est désormais bien plus mature et gagne encore à l’être au fil de cette aventure.
Les problèmes de gameplay sont les mêmes (sur PS3 où l’on bute fréquemment sur des murs invisibles durant les déplacements), on se console avec la beauté visuelle et la magie qui émane encore une fois de cette univers de Sokal. On pourrait sans doute lui reprocher d’être moins développé, d’une certaine mesure, car le nombre de lieux est moindre tout en étant plus vaste. Au final, on a l’impression de s’éterniser dans un même lieu. Mais qu’à cela ne tienne, les énigmes nous arrachent bien quelques cheveux (surtout en mode difficile qui se veut l’équivalent du mode original, sans aide d’aucune sorte).
L’histoire évolue et prend des tournants parfois inattendus, si bien que l’émotion gagne rapidement le joueur pris dans cette aventure.
Encore une fois, une heure du conte avec des ados autour de ce jeu ouvrirait sans doute de belles portes vers l’imaginaire.
