Final Fantasy III

Alors que la magie a fait place à une technologie plus industrielle, un mystérieux ennemi tente de retrouver les derniers Espers, créatures dotées de pouvoirs gigantesques capables de détruire le monde.

A PROPOS
Editeur : Squaresoft
Développeur : Squaresoft, Hironobu Sakaguchi, Yoshinori Kitase, Hiroyuki Ito
Sortie : 1994
Genre : RPG
Nombre de joueur : 1
DISPONIBLE SUR : Wii, SNES, SNES Classic Mini, iOS, Android, Playstation
CLASSIFICATION PEGI

age-7-black-01  age-12-black-01(Version remasterisée)pegivio

CLASSIFICATION MOBILE
(version remastérisée)
App Store (iTunes) : 9+
Amazon : SURVEILLANCE SUGGÉRÉE
CONTENU DU JEU
difficulté :
temp3
  • Apprentissage de commandes nécessaires
  • Niveau de lecture soutenu requis (beaucoup de texte)
  • Niveau de difficulté élevé
Durée moyenne d’une partie :
time3

Plus de 30 minutes

Langue :
eng

Anglais

Fonctions liées à internet :

  • connexion internet permanente requise : NON
VIDÉO
AVIS
Nicolas PERISSE – Jeuxvideothèque :

Si cet épisode de Final Fantasy a acquis le statut d’oeuvre culte, il reste pour la plupart le meilleur de la saga ! Magie, complot, légendes anciennes, univers steampunk, système de combat en temps réel, personnages inoubliables, scénario ambitieux et narration au top, le jeu est également servi par des graphismes de très bonne qualité et un univers sonore exceptionnel avec ses musiques issues du talent de Nobuo Uematsu.

Mais pourquoi est-il titré Final Fantasy III alors qu’on connaît ce jeu sous le nom de Final Fantasy VI ??? Tout simplement parce qu’il s’agit de la version américaine. En effet, l’Amérique n’a découvert qu’en 1990 le premier Final Fantasy sur NES (1987 au Japon). Les épisodes originaux II et III ne sont quand à eux sortis qu’au Japon. L’épisode IV quand à lui sorti en Amérique et fut renommé logiquement Final Fantasy II. L’épisode V ne sortit également qu’au Japon et l’épisode eut droit à sa traversée du Pacifique, se voyant alors renommé Final Fantasy III. Lorsque Final Fantasy VII vit le jour sur Playstation, la saga ne changea plus de nom et les rééditions qui suivirent par la suite (Final Fantasy Origins pour FF I, II et III, Final Fantasy Anthology pour FF IV et V et Final Fantasy VI) permirent non seulement la diffusion de tous les épisodes remastérisés et de les renuméroter comme il se devait. Toutefois, la version SNES Classic Mini a gardé le nom d’origine.

Pour être honnête, je n’ai jamais beaucoup parcouru ce jeu tant la maîtrise de l’anglais est nécessaire pour apprécier comme il se doit cette aventure écrite pour durer plusieurs heures minimum (le speedrun complet est d’environ 5h30). Mais pour le peu que j’ai pu en voir, le jeu semble effectivement formidable. Je laisse les fans échanger à ce sujet (pour ma part, c’est Final Fantasy VII qui aura le premier marqué ma vie de joueur)

Difficile donc de le proposer en médiathèque dans de bonnes conditions. Comme pour Earthbound, il peut être envisageable sur une heure du conte auprès de collégiens et en lien avec un professeur d’anglais sans doute. Ou alors pour un public anglophone. Si toutefois vous dénichez une version française originale alors n’hésitez pas à vous plonger dans cette aventure, ne serait-ce que pour vivre un grand moment de jeu vidéo.

 

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