Nidhogg

A PROPOS
nidhogg1 Editeur : Messhof
Développeur : Messhof
Sortie : 2014
Genre : Combat
Nombre de joueur : 2
DISPONIBLE SUR : PC – PS4 – PS VITA
CLASSIFICATION PEGI
age-7-black-01    pegivio
CONTENU DU JEU
difficulté :
temp1
  • Prise en main intuitive
  • Peu de lecture
  • Niveau de difficulté faible
Durée moyenne d’une partie :
time1

5 à 15 minutes

Langue :
eng

Anglais

Fonctions liées à internet :

  • connexion internet permanente requise : NON
VIDÉO
AVIS
Party Game BM Dijon

Oh le « joli » jeu de combat à l’épée que voilà ! (oui, joli, c’est peut être un peu exagéré vu que les graphismes sont trèèèès pixelisés et sont loin d’être criants de vérité). Mais ne vous fiez pas à son apparence rudimentaire, Nidhogg a bien d’autres points positifs : la prise en main est immédiate, et on comprend instinctivement ce qu’il faut faire. Et surtout, ce jeu est un très chouette moment de fun !

Vous incarnez un des deux bretteurs, jaune ou orange, et le combat commence sans autre cérémonie : vous allez alors ferrailler à tout va, parer, feinter, porter l’estocade. Vous pouvez avancer prudemment pour imposer un rythme tactique ou foncer tête baissée sur votre cible. Lorsque l’un des deux belligérants a occis son vis-à-vis, il a alors la main, et traverse le tableau dans une direction : vers la droite pour le joueur jaune, la gauche pour l’orange. Le but du jeu : traverser 4 tableaux où vous devrez mener moult duels pour atteindre l’arène finale où vous serez accueilli par les vivas de la foule en délire… et un dragon (ou un serpent géant, on ne sait pas trop), le fameux Nidhogg. On ne vous dit pas comment il fête avec vous votre victoire, mais c’est assez particulier… (un indice : en vieux Norrois, Nidhogg signifie « celui qui frappe férocement »)

Et sachez que si vous n’êtes pas très à l’aise avec la parade-riposte, vous pourrez également lancer sournoisement votre épée à la face de votre adversaire, ou alors régler tout cela par un bon vieux coup de poing ou un high-kick fouetté bien placé : il ne vous restera plus qu’à « dénuquer » ou éviscérer » votre ennemi dans les règles de l’art (pas facile de savoir, mais rassurez-vous, on devine plus qu’on ne voit, c’est là que réside tout le charme du bon vieux jeu en pixel). Si vous n’aimez vraiment pas la violence, prenez la main une fois, puis fuyez lâchement : un saut bien placé et vous pourrez peut être esquiver les attaques de votre opposant (mais c’est quand même plus drôle de se battre 🙂

4 arènes de combat s’offrent à vous : le château, les mines, la brousse et les nuages (très poétiques) : chaque environnement a ses petites particularités pour se cacher ou interagir avec votre adversaire si le besoin s’en fait ressentir.

D’une simplicité redoutable, un brin stratégique et d’une jouabilité excellente, Nidhogg n’est pas un monstre graphique mais il a toutes les qualités d’un très bon jeu : qu’importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse !

Si vous n’aimez pas pourfendre vos adversaires, les graphismes des années Atari 2600 et les dragons invincibles scandinaves, ce jeu n’est pas fait pour vous.

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